• Pourquoi ci? Pourquoi ça?

    Il y a un âge où les enfants se posent beaucoup trop de questions existentielles ou pas. C'est bien, ils s'interrogent sur le monde qui les entoure, ils réfléchissent... Mais surtout ils attendent des réponses. C'est une période riche en interaction avec son enfant mais qui peut devenir difficile à gérer quand les pourquoi s'enchaînent à raison de 2 ou 3 pourquoi à la minute (pas épuisant du tout...). Et là, faut suivre!

    Mais à quoi ressemblent les pourquoi? et comment y faire face répondre? En voici une petite liste:

    - Il y a le pourquoi compliqué. Compliqué car la réponse n'est parfois même pas connue par l'adulte ou alors elle est difficilement compréhensible pour l'enfant. Du coup, on risque fort d'enchaîner avec un autre pourquoi, puis un autre, puis un autre... Bref, c'est un piège dans lequel il ne faut pas tomber.

    Ex: "Maman, pourquoi le ciel il est bleu?"

    Si vous connaissez la réponse et que vous tentez d'y répondre il vaut mieux que la réponse soit simple, sinon vous savez ce qui vous attend. Mais pour stopper l'avalanche de pourquoi vers laquelle vous vous dirigez vous pouvez couper court par un bon "C'est comme ça!" Si vous ne connaissez pas la réponse je vous recommande la franchise. Répondez "Je ne sais pas. On demandera à papa. Il sait tout lui!" Vous flatterez ainsi l'égo du papa et vous vous débarrasserez du pourquoi en même temps. Double effet Kiss Cool!

    - Il y a le pourquoi agaçant.

    Ex: "Maman, pourquoi t'as pas fait le ménage?"

    Il convient alors de réfréner votre réponse agacée et de répondre calmement. Restez zen face à la remarque évidente et culpabilisante de votre petit ange. Dans ce cas-ci répondez: "Parce que je n'ai pas eu le temps, mon chéri. Je m'occupe de toi tu vois?"

    - Il y a le pourquoi répétitif: il peut être énoncé jusqu'à 253 fois si vous avez le culot de ne plus répondre.

    Ex: "Maman, pourquoi tu réponds pas?"

    Il se changera rapidement en "Mamaaaaaaaaaaaannnnnnn, pourquoiiiiiiiiiiiiiiiii tu réponds paaaaaaaaas?" et pourra même être ponctué de pleurs plus ou moins fourni à partir du 190 ème pourquoi. La réponse adaptée? Le silence: l'enfant finira bien par se lasser. Dans la guerre des nerfs vous êtes la plus forte! Autre réponse possible: "Parce queeeeeeeeeeeeee!!!!" énoncé sur le même ton que l'enfant. Mais autant vous dire que ce pourquoi est dangereux puisque le dialogue est rompu entre l'enfant et le parent et l'énervement grimpe progressivement. La vraie solution ce serai donc de répondre au pourquoi dès le début. Non, parce que dans la guerre des nerfs, pour de vrai, c'est pas vous qui serez gagnante!

    - Il y a le pourquoi gênant: c'est celui qui vous donne envie de disparaître six pieds sous terre.

    Ex: "Maman, pourquoi il sent pas bon le monsieur?" Pourquoi énoncé devant l'intéressé bien évidemment.

    Après être devenue rouge pivoine la réponse sera toujours gênée car on est un peu pris au dépourvu. "Hum hum... mais ça ne se dit pas ça mon petit monstre amour. Et puis ce n'est pas vrai enfin si, mais chut! Vous auriez pas une pelle, monsieur?"

    - Il y a le pourquoi petite forme: c'est celui qui se contente de la réponse donnée et n'enchaîne pas avec d'autres questions.

    Ex: "Pépito: Maman, pourquoi tu mets de la crème fraîche dans mes pâtes à carponara?

    Moi: Parce que c'est bon."

    En même temps, c'est une réponse qui ne se discute pas.

    - Il y a le pourquoi qui tourne en rond. Il s'agit en réalité d'une série de pourquoi qui reviennent sans cesse au premier pour reprendre la série de plus belle.

    Ex: "Pépito: Maman, pourquoi tu dis que t'es fatiguée?

    Moi: Parce que ta petite sœur a demandé à manger deux fois cette nuit donc il a fallu que je me lève pour lui donner son biberon.

    Pépito: Maman, pourquoi il a fallu lui donner son biberon?

    Moi: Parce qu'elle avait faim.

    Pépito: Maman, pourquoi t'as des traces bleues sous les yeux?

    Moi: Parce que je suis fatiguée."

    Et c'est reparti pour un tour. C'est un pourquoi fatigant. Il faut donc y couper court et proposer à l'enfant une activité, un jeu pour le faire passer à autre chose. Si ça ne marche pas, trouvez votre boîte de boule Quies et bouchez vous les oreilles!

    - Il y a le pourquoi décalé: c'est celui qu'on attendait pas (en même temps, je reconnais qu'il y en a beaucoup). Il n'est jamais à propos et du coup il nous surprend, comme celui de Pépito ce matin.

    Ex: "Maman, pourquoi papa c'est ton amoureux?"

    - Il y a le pourquoi bête: c'est celui qui horripile parce que franchement la réponse est évidente:

    Ex: "Maman, pourquoi elle doit manger la petite sœur?"

    Ben... je sais pas moi... sans doute parce qu'elle a faim!!!

    - Il y a le pourquoi opprimé: on le connaît tous.

    Ex: "Pourquoi mooooaaaaaaaaaaaa?"

    Souvent repris mentalement par les parents. C'est un pourquoi qui se satisfait rarement de la justification apportée par les parents et en réclame encore plus. Le risque c'est qu'il finisse en pourquoi qui tourne en rond, donc l'enfant devra se contenter d'un bon "Parce que..." Oui, je sais c'est un peu nul comme réponse mais face à une telle question on fait ce qu'on peut et surtout on va au plus court.

    - Il y a le pourquoi qui s'assure que la réponse n'a pas changé: c'est un pourquoi qui se répète régulièrement et qui est légèrement inquiet. Il ne se contente pas du "parce que" qui l'angoissera d'autant plus. Il faut donc y répondre avec patience et amour même si c'est la 458 ème fois que vous y répondez.

    Ex: "Pépito: Maman, pourquoi tu me fais des bisous?

    Moi: Mais parce que tu es mon Pépito chéri."

    Réponse ponctuée bien entendu d'un énorme câlin et d'une multitude de bisous. Moi, je l'aime bien ce pourquoi là, même s'il est répétitif.


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  • Hier, avec Pépito on a cuisiné ça:

    Fondant au chocolat au lait

    Une tuerie!!!! Et facile à faire avec un petit, évidemment. J'ai pu également voir à quel point mon Pépito était doué pour cuisiner (dit la maman tout à fait impartiale). Bientôt je deviendrai son commis! Ok ok j'arrête. N'empêche qu'il m'a montré qu'après toutes ces séances de cuisine il se débrouillait comme un chef!

    Bon, j'en viens à la recette. La voici:

    Fondant au chocolat au lait:

    Ingrédients:

    - 2 tablettes de chocolat au lait de 170 g (et oui, c'est généreux!)

    - 100 g de beurre

    - 30 g de sucre

    - 50 g de farine

    - 4 oeufs

    Etapes de la recette:

    1: Préchauffez le four à 200°C (th 6-7).

    2: Cassez en morceaux une tablette et demie de chocolat au lait. Faites-la fondre avec le beurre dans une casserole. Hachez le reste du chocolat en pépites.

    3: Dans un saladier, mélangez le chocolat fondu avec le sucre, la farine et les œufs. Beurrez et farinez un moule à manqué. Versez-y la préparation. Parsemez le dessus de pépites de chocolat.

    4: Enfournez pour 11 min de cuisson. Laissez refroidir à température ambiante pendant 20 min avant de démouler.

     

    Et enfin, régalez-vous!





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  • Je lève, je nourris, je lave les dents, je conduis à l'école, je ramène de l'école, je demande comment s'est passée la journée, je donne le goûter, je joue, je lave, je nourris, je couche, je fais un dernier bisou... 

    Je joue le jeu, je fais semblant, je raconte des histoires...

    Je parle, je communique, je discute, je demande...

    Je teste, j'essaie, je tente, j'invente, j'apprends, je me découvre...

    Je souris, je ris, je rigole, je me bidonne, je me plie en deux, je suis morte de rire...

    Je râle, je souffle, je peste, je tempête, je crie, je punis, je me plains...

    Je laisse tomber, je baisse les bras, je rends les armes, je me résigne...

    Je répète, je recommence, je reprends, je remontre, je redis...

    Mais surtout, j'aime. J'aime, j'adore, je câline, j'embrasse, je bisoute, je cajole, je dorlote, je console, je rassure, je sèche les larmes, j'entoure, j'accompagne, je sers dans mes bras fort, fort, fort.

    Bref, je suis leur maman et je suis heureuse.


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  • Avant d'avoir des enfants quand j'allais chez le médecin ça donnait à peu près ça:

    - départ 15 min avant le rendez-vous de façon à avoir le temps de se garer même super loin si y'a pas de place et d'arriver un peu en avance.

    - entretien de 15 min max avec le docteur durant lequel je pouvais poser toutes mes questions (sans en oublier aucune) puis quitter le médecin en lui serrant la main et en répondant ou pas à sa blagounette "Je vous dit pas à bientôt, hein?"

    - remonter en voiture et se diriger vers la pharmacie: 10 min.

    - à la pharmacie: 10-15 min selon la pharmacienne et son envie de papoter.

    - enfin revenir à la maison en 10 min.

    Aller chez le médecin c'était donc une balade tranquille d'une heure environ.

    Aujourd'hui, je suis maman et même, maman de deux enfants dont un fourni avec tout le kit poussette/cosy/énorme sac à langer. Alors quand je suis allée chez le médecin avec Pépito et Nougatine (car Pépito a une toux de phoque et un sommeil d'insomniaque) j'ai réalisé à quel point les choses avaient changé:

    - j'ai commencé par préparer le sac de voyage à langer parce que c'est ultra important et qu'on est dans le caca quand on a oublié de prendre des couches. Parce que vous pouvez me croire (c'est du vécu) c'est quand on a oublié les couches que notre bébé tout mignon et qu'on aime fort fort fort remplit la couche de la manière la plus abominable qui soit. Tenez vous le pour dit! Donc j'ai préparé le sac de survie à langer durant 5 min.

    - j'ai réveillé Nougatine pour lui donner son bib' parce que c'est plus rigolo comme ça, il tombait en plein rendez-vous. Bib' express de Nougatine: 20 min. Après le réveil de la plus jeune, je suis allée pourrir la sieste du plus grand (ben oui, j'avais obtenu un rendez-vous en plein dodo... erreur à ne plus commettre) et je lui ai demandé de s'habiller alors qu'il était dans un demi sommeil et la joue encore toute rouge avec la trace de l'oreiller dessus. Ouais, j'aime les défis! Je lui ai donné un coup de pouce avec une Nougatine dans les bras à qui je faisais faire son rot et en le motivant en lui disant "Dépêche-toi! Le docteur il va pas être content du tout si on arrive en retard. Il va nous disputer!" Mauvais plan quand on a réveillé le Pépito en pleine sieste car il gère mal le stress à moitié réveillé. Il s'est mis à pleurer ce qui n'arrangeait rien. Ouf! Nougatine a fait son rot et Pepito habillé en 10 min! Youhou! On est trop au top mes loulous d'amour!

    - On met les manteaux! Truc de fou! Avant d'avoir des enfants cette étape n'existe même pas dans ton emploi du temps, mais là... pense aux chaussures, au tour de cou (Pépito n'a pas d'écharpe car interdite par la maîtresse, du coup il a un tour de cou), au bonnet, au manteau à enfiler à Pépito et à la combi pilote dans laquelle enfermer Nougatine. Avec le risque qu'un grain de sable, type régurgitation intempestive de Nougatine, vienne tout chambouler et te retarder: 5 min (7 min en cas de régurgitation)

    - monter dans la voiture: sangler le Pépito sur son siège auto de grand alors qu'il essuie conscieusement ses chaussures sur le dos du fauteuil passager et évidemment lui apprendre que ce n'est pas bien en lui lançant élégamment un "Non, mais ça va pas bien, non? C'est pas un tapis! T'arrête ça tout de suite! Nan mais!" (Maman Pilou commence à avoir chaud là). Installer ensuite Nougatine qui est super serrée lovée dans son cosy et ranger la poussette dans le coffre. Enfin, au bout de 5 min supplémentaires, une leçon de conduite donnée à Pépito et plusieurs gouttes de sueur apparues sur mon front plus tard, nous étions partis. Pfffiuuu!

    - Le trajet en voiture ne change pas au niveau du temps d'exécution, soit 15 min. C'est l'ambiance dans la voiture qui change selon l'humeur de ses habitants. Mais là, tout le monde semblait content d'aller chez le médecin, alors petite conversation entre moi et Pépito et babillage pour Nougatine qui ne veut pas être en reste, et elle a raison!

    - Je ne m'étends pas sur la descente de la voiture qui est aussi sportive que la montée avec un facteur à risque supplémentaire: gérer en même temps l'électron libre qu'est Pépito sur un parking, soit un endroit potentiellement dangereux, et la poussette de Nougatine. 5 min de plus pour la descente de la voiture et l'arrivée en salle d'attente.

    - On y est! "Bonjour Monsieur. Pépito tousse comme un phoque, faites quelque chose!" Ouf! Pépito est sage pendant que le docteur l'ausculte, mais (évidemment qu'il y a un mais!) pas pendant qu'il m'ausculte moi ou sa sœur et encore moins quand on discute. Alors, entre deux "Pépito arrête tes bêtises! Sois sage!" j'ai supplié mon docteur comme on supplie son dealer: "Le sirop pour la toux il a un truc genre somnifère dedans? Pour qu'il dorme mieux mon petit chaton (et moi aussi accessoirement...)". Ah! Et puis, comme c'était pas assez bruyant comme ça avec Pépito qui fait le tigre (véridique! mon fils est un vrai bestiaire à lui seul!) Nougatine s'est souvenu qu'elle n'avait pas bu son bib' en entier et nous l'a fait savoir avec son beau petit brin de voix. Autant te dire que le médecin était content de nous voir quitter son cabinet au bout de 30 min. Et rebelotte, on doit rhabiller tout le monde et remonter en voiture: 10 min de plus et une Maman Pilou qui a très très chaud.

    - Direction la pharmacie avec une Nougatine pleurant à corps et à cris. Oui, mais si je ne vais pas à la pharmacie tout de suite je pourrai pas y aller après et lui donner son bib' dans la voiture coincée entre le cosy et le siège auto, ben c'est juste inenvisageable. Dernière option, balayée d'un revers de la main aussitôt qu'elle me vient à l'esprit: demander à Pépito de donner le bib' à sa sœur pendant qu'on file vers la pharmacie. Non, ça marchera pas, il a le bras trop court! Heureusement, la voiture ça berce et ça endort même un bébé affamé. 10 min.

    - A la pharmacie: vous avez pas oublié qu'on est repassé par l'étape descente de voiture, hein? Devant la pharmacienne je n'avais plus à gérer Nougatine sur qui la voiture a fait l'effet d'un somnifère (idée à retenir les nuits d'éveil). En revanche Pépito était décidément en grande forme pour un malade finalement puisqu'il a entrepris de toucher aux étalages et de manquer les faire tomber à de nombreuses reprises. Puis, trouvant que la pharmacienne un peu trop longue à me servir il a commencé à me tirer le bras en me répétant 45 fois "On y va, mamaaaan!" Maman Pilou a chaud comme en pleine canicule. 15 min! C'est vrai qu'elle était pas pressée la pharmacienne. La prochaine fois je laisse Pépito lui décorer à sa façon son officine, elle accélèrera sûrement le rythme.

    - Retour à la maison après être de nouveau monté et redescendu de la voiture. Retour à la maison = déshabillage (dernière épreuve) = 5 min.

    Alors, combien de temps pour une petite balade chez le médecin avec mes deux amours? 2 heures et une balade qui s'apparente plus à une expédition.

    Avant d'avoir des enfants je ne m'en rendais pas compte mais j'avais du temps en fait. Aujourd'hui les journées ont toujours 24 heures et chacune d'entre elles est bien remplie!


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  • Allez, allez. Cherchez bien. Vous aussi vous les connaissez.

    John, l'interne riche qui adore son boulot et ne se contente pas de profiter de ses millions.

    Mark, qui me fait pleurer à tous les coups quand il meurt (oui, même après avoir vu l'épisode 5 fois) et qui du coup m'empêche d'apprécier "Over the rainbow" qui est pourtant une belle chanson. Pourquoi? C'est sur cette chanson qu'on apprend le décès de ce personnage.

    Doug qui fait plein de bourdes médicales parce que c'est un rebelle. Il sait faire craquer les filles avec son regard de tombeur. "What else?" Vous l'aurez reconnu c'est notre Georges aujourd'hui plus grisonnant après avoir fait plein de casse dans les casinos de Las Vegas (toujours rebelle George) mais tellement plus charmeur. Vieillir lui va bien!

    Vous aurez reconnu les personnages d'Urgences. Depuis que je suis arrêtée je regarde beaucoup la télé (beaucoup trop. C'est là que je vois que je suis addict...) et j'ai ainsi revu de nombreux épisodes de cette série qui repassait l'après-midi. Mais mon programme télé ne s'arrêtait pas là. Addict je vous dit! La nostalgie des séries cultes m'a entraînée à regarder aussi Friends qui passait juste avant Urgences. Souvenirs, souvenirs!

    J'ai ainsi retrouvé Monica et les autres au Central Perk à l'époque où Rachel et Ross s'aimaient puis se séparaient à cause d'une sombre histoire de pause mal interprétée par Ross (Ah! Les hommes!). C'est malin! De pause ça s'est fini en vraie rupture. Heureusement que des dizaines d'épisodes et un enfant plus tard ils finissent par se rendre à l'évidence au dernier épisode: ils sont faits l'un pour l'autre, Ross est le homard de Rachel et inversement, ils ne peuvent pas vivre séparés. J'ai encore la larmichette à l'œil.

    C'était la belle époque de ces séries télé qu'on attendait toute la semaine (pour Urgences) ou tous les soirs (pour Friends) et dont on parlait immancablement le lendemain avec les copines. On se refaisait tout l'épisode comme si l'une d'entre nous l'avait manqué alors qu'évidemment c'était super rare! Il fallait au moins un évènement majeur comme la visite à l'hôpital pour voir Tatie Germaine ou fêter l'anniversaire de la petite sœur (10 ans c'est important) pour ne pas l'avoir regardé. Et si c'était le cas on l'avait au moins enregistré sur une cassette vidéo!!! Aïe, aïe, aïe! C'est loin tout ça. On se sent vieux, hein?

    C'était l'époque où les séries étaient cultes ou n'étaient pas. Loin des Experts de toutes les villes, des polices judiciaires, criminelles et compagnie et des Dr House et Grey's Anatomy (sympa certes, mais quelle bande de copieurs ces médecins là!)

    Il y en avait d'autres mais celles là étaient mes préférées et j'étais contente de les revoir même si c'était pour la 3ème ou 4ème fois au moins. Elles n'ont pas pris une ride!

    Allez rien que pour le plaisir: le générique de Friends:

     

     


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